Ce virtuose de la kora vient de la charmante Gambie - le plus petit pays d' Afrique. Buba est un grand musicien de la famille jali - artiste dont la tâche est de transmettre la tradition, l'histoire aux prochaines générations. Chaque concert est un régal pour les spectateurs quelques soient les préférences musicales.
Buba qui vit en Pologne depuis tout juste deux ans, est un chanteur et koriste talentueux. A spet ans, il commença a jouer la kora, instrument à 21 cordes, qui a une très longue tradition et qui rappelle une harpe. L'artiste joue également au balafon.
Le son singulier et enchantée de la côte ouest de l'Afrique, le talent du musicien donnent l'impression d'un véritable aphrodisiaque. Cette symbiose de techniques traditionnelles mandingues, l'innovation, l'improvisatrice pure;. car c'est un voyage vers les coulisses magique de l’émotion, le koriste ne l'évite point. Buba permet de s'adonner à la légèreté de la fusion et, simultanément, d'en tirer un immense plaisir . Le Gambien ouvre de nouveaux horizons au public, offre sa culture, mais aussi encourage à la tolérance, à la bonté et à l'ouverture . Pour Buba, le plus important c'est de donner aux gens le bonheur et la joie .
Son album solo "La Paix" est sorti en 2013.
Buba collabore volontiers avec des musiciens polonais – il s'engage dans des projets inspirants, par exemple les sons kora et duduka du multi-instrumentiste Lukasz Look Sabat. Avec Daniel Słomiński et Thomas Waldowski il a formé -Buba Kuyateh Trio- déjà connu pour ses rythmes funky et jazz. D'ailleurs ce trio promet un lot de surprises en 2014.
Buba enseigne le jeu de la kora en Pologne, en Angleterre et en Allemagne et organise des voyages d'apprentissage en Gambie .
En plus de tournées et de la participation a plusieurs festivals polonais (par exemple Globaltica ou Croisée des Cultures ) Buba s'est impliqué dans de nombreuses initiatives sociales: co-auteur de la musique de « Nie ma cwaniaka nad Warszawiaka », morceau phare interprété par Ifi Ude de l'album «Warszawa da się lubić» un projet de la Fondation Afrique Autrement de décembre 2013.
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